Maurice Clément orgue
Wagner, Franck, Widor.
Bruckner rend hommage à Wagner, le « maître décédé, bien-aimé et immortel ». Ses mélodies se souviennent de Parsifal et trouvent à l’orgue un souffle sans fin. Avec Harmonies, Ligeti installe un « trompe-l’oreille » en créant des nuages sonores a priori identiques, mais qui se modifient en réalité sans cesse, tandis que Coulée donne l’impression d’un continuum vibrant et animé qui produit une musique « stroboscopique ». Comme le dit Jean-Baptiste Robin, « dans cette œuvre, l’organiste est devant son instrument comme étant face à une grande horloge ou à un carillon. D’innombrables tic-tac sonnent continuellement. Ce n’est pas l’homme qui arrête le temps mais le temps qui arrête l’homme. »
RICHARD WAGNER
Tristan et Isolde : Prélude (adaptation Maurice Clement)
CÉSAR FRANCK
Fantaisie en la majeur
ANTON BRUCKNER
Symphonie n° 7 : Adagio (adaptation Maurice Clement)
ARVO PÄRT
Mein Weg (Mon chemin)
GYÖRGY LIGETI
Études pour orgue (n° 1 Harmonies, n° 2 Coulée)
JEAN-BAPTISTE ROBIN
La Destruction du temps (commande de Radio France - création mondiale)
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Chambre
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